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Giorgo Manganelli, Centuries, cent petits romans-fleuves
Trente neuf Rapide, une ombre court le long des barbelés, à travers les tranchées, près des silhouettes des armes qui se découpent dans la nuit : le...
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Giorgio Manganelli, Centurie (cent petits romans fleuves)
Quatre vingt-six Il se demande souvent si la question du rapport à la sphère n'est pas, de par sa nature même, insoluble. La sphère n'est pas présente en permanence...
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Giorgio Manganelli, Discours de l'ombre et du blason
Il fait aujourd'hui, après une journée de pluie, un temps étrangement limpide, un excellent temps pour aller acheter des livres. Selon moi, je l'ai déjà dit,...
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Giorgio Manganelli, Dall'inferno (Depuis l'enfer)
Long et flexible corps, serpentin, désossé, apte à glisser entre les doigts d'un astucieux sectateur qui poursuit pour réséquer ; visqueuse peau qui retient une main, livide pour...
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Giorgio Manganelli, Amour
Si tu m’aimes — et j’ignore si l’amour est permis à qui rêve — , tu m’aimes comme on peut aimer après bien des amours, au point que les mystères, les...
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Giorgio Manganelli, Amour
[L’Amour]A. Ainsi deviserons-nous de l’amour.B. Et d’opportune manière, puisque discourant sur la vertu, la mort, la fuite, l’abolition de l’être, nus avons toujours et...
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Giorgio Manganelli, Centuries
Quatre vingt-six Il se demande souvent si la question du rapport à la sphère n'est pas, de par sa nature même, insoluble. La sphère n'est pas présente en...
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